Sehr geehrte SGSMP-Mitglieder
Am Gala-Dinner zum 40-jährigen Bestehen der SGSMP letztes Jahr auf dem Gurten war Frau
Prof. Hedwig
Fritz-Niggli noch unser Ehrengast. Im Frühjahr 2005 verstarb sie im Alter von 84 Jahren. Sie war nicht
nur Ehren- und Gründungsmitglied, sondern auch die erste
Präsidentin und Hauptinitiantin unserer
Gesellschaft. Wir werden uns auch in Zukunft in Dankbarkeit an ihre Verdienste erinnern.
Unsere Gesellschaft hat im letzten Jahr nicht nur diesen personellen, sondern auch einen strukturellen
Verlust erlitten. Die Abteilung für Radiologische Physik an der Universität Basel wurde aufgelöst,
dies zu einem Zeitpunkt, wo man in Deutschland öffentlich propagiert,
wieder unabhängige
Medizin-Physik-Abteilungen zu schaffen, da sich deren Auflösung als
Bumerang erwiesen hat.
Die Mehrheit der Mitarbeiter der Radiologischen Physik wurde in das Institut für Radio-Onkologie
integriert. Leider fehlt aber eine fachkompetente
Führungsstruktur.
Positiv entwickelt sich die Zusammenarbeit zwischen dem BAG und unseren Gesellschaften.
Regelmässig finden Treffen zwischen der Leitung der Abteilung Strahlenschutz und einer
Kerngruppe von SGSMP/SBMP statt. Offene Probleme können dort unkompliziert
besprochen und
einer Lösung zugeführt werden. Ausdruck dieser guten Zusammenarbeit ist auch der Umstand,
dass BAG-Mitarbeiter in Arbeitsgruppen unserer Gesellschaft aktiv mitarbeiten. Dies führt
dazu, dass die Empfehlungen der SGSMP nicht nur für Beschleuniger, sondern auch für
HDR-Geräte in die Verordnungen und Weisungen des BAG übernommen werden.
2005 wurde als Erinnerung an das 100-jährige Bestehen der Relativitätstheorie international
zum Jahr der Physik proklamiert. Die SBMP nahm dies zum Anlass, den 10. September 2005 zum
Tag der Medizinphysik zu erklären. Die Idee bestand darin, dass die verschiedenen
Physikgruppen in den Schweizer Spitälern ihren Beruf in geeigneter Form einer breiteren
Öffentlichkeit vorstellen. Leider beteiligte sich nur eine Minderheit der Physikgruppen an
dieser Aktion, so dass die gewünschte Breitenwirkung nicht zustande kam. Vielleicht sollten
wir dieses Ereignis zum Anlass nehmen, uns einige Gedanken zur Solidarität zu machen.
Ich glaube, wir sind uns einig, dass wir den Stellenwert unseres Berufes verbessern müssen.
Von einem Erfolg würden wir alle profitieren. Erfolg können wir nur dann wirklich erringen,
wenn wir gemeinsam auftreten. Aus dieser Sicht kann ich es nicht verstehen, wenn manche
Kolleginnen und Kollegen bei solchen Aktionen, aber auch generell der SBMP fern bleiben.
Ich möchte diesen Jahresbericht mit einem herzlichen Dank an jene schliessen, die sich
aktiv für die Weiterentwicklung unserer Gesellschaft eingesetzt haben. Dabei denke ich
vor allem an unsere Redaktorinnen des Bulletins, unseren Webmaster, das Sekretariat, die
Mitglieder der verschiedenen Arbeitsgruppen und an meine Kolleginnen und Kollegen in den
beiden Vorständen. Ohne die Mitwirkung von ihnen allen, wäre der Fortschritt, den unsere
Gesellschaft im letzten Jahr gemacht hat, nicht möglich gewesen.
Léon André |
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Madame, Monsieur, chers membres de la SSRPM,
Madame le Professeur Hedwig Fritz-Niggli était notre invitée d’honneur l’année dernière
en-core sur le Gurten, lors de notre dîner de gala à l’occasion des 40 ans de la SSRPM.
Elle est décédée au printemps 2005 à l’âge de 84 ans. Elle ne fut pas seulement membre
honoraire et fondateur mais également la première présidente et initiatrice principale
de notre société. Nous nous souviendrons avec reconnaissance de ce qu’elle a apporté à la société.
Notre société a souffert l’année dernière non seulement d’une perte personnelle mais
aussi structurelle. Le service de physique radiologique de l’université de Bâle a été
dissolu et ceci au moment où l’on propageait publiquement en Allemagne l’idée de recréer
des services de physique médicale indépendants car leur dissolution eurent un effet boomerang.
La plus grande partie du personnel du service de physique radiologique a été intégrée à
l’Institut de radiooncologie. Mais malheureusement, une structure dirigeante compétente
manque dans cette discipline.
La collaboration entre l’OFSP et notre société se développe de manière positive. Des
rencontres ont lieu régulièrement entre la direction du service de radioprotection et
un groupe du comité de la SSRPM/APSPM. Des problèmes encore existants peuvent y être
débattus de manière non compliquée et des solutions peuvent être trouvées. Cette
collaboration excellente incite aussi le personnel de l’OFSP à devenir actif dans les
groupes de travail de notre société. Ainsi les recommandations de la SSRPM peuvent être
suivies non seulement pour les accé-lérateurs mais aussi pour les appareils à haut débit
dans les décrets et les directives de l’OFSP.
L’année 2005 a été proclamée Année mondiale de la Physique pour commémorer les 100 ans de
la théorie de la relativité. L’APSPM a, à cette occasion, proclamé le 10 septembre 2005
Journée de la Physique médicale. Les différents groupes de physique des hôpitaux suisses
devaient ainsi présenter leur métier à un public plus large dans une forme appropriée.
Malheureusement, seule une minorité des groupes de physique participèrent à cette action,
de telle sorte que l’impact souhaité ne fut pas obtenu. Peut-être devrions-nous prendre
cet évènement en considération et nous pencher sur le sujet de la solidarité. Nous sommes,
je le crois, d’accord sur le fait que nous devons améliorer la place occupée par notre métier.
Nous vou-lons tous profiter d’un succès. Mais le succès n’est vraiment accessible que si nous
travaillons ensemble. De ce point de vue, je ne peux comprendre que certains collègues restent
éloignés de l’APSPM lors d’actions de la sorte mais aussi en général.
Je voudrais achever ce rapport par un remerciement à ceux qui ont travaillé activement pour
le développement de notre société. Je pense ici plus particulièrement à nos rédactrices du
bulletin, à notre webmaster, au secrétariat, aux membres des différents groupes de travail
et à mes collègues des deux comités. Sans votre participation, le progrès que notre société
a fait durant l’année dernière n’aurait pas été possible.
Léon André |